Lorsque Sylvia Plath se suicide en 1963, elle vient d’écrire une série de poèmes dont elle dit sa fierté à sa mère : « Je suis un écrivain de génie, je le sens en moi. J’écris les meilleurs poèmes de ma vie. Ils me rendront célèbre… »
Le recueil s’intitule Ariel, nom de l’esprit de l’air de La Tempête de Shakespeare. La pièce, le personnage d’Ariel et Shakespeare, accompagnent S.Plath depuis le jour de ses 13 ans où elle a assisté à une représentation de La Tempête.