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3e Journée de l’Institut de l’Enfant INTERPRÉTER L'ENFANT Le 21 mars 2015 |
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1, 2, 3 La troisième Journée de l’Institut de l’Enfant se profile à l’horizon. Ce sera le 21 mars 2015. Dans un an donc, au Palais des Congrès d’Issy-les-Moulineaux, qui connaît déjà nos façons de faire et de dire. Mais celles-ci seront à réinventer pour le thème proposé par Jacques-Alain Miller, qui vise au cœur même de l’action analytique : Interpréter l’enfant. L’Institut de l’Enfant, comme lors des deux précédentes Journées, donnera la parole aux enfants, par le truchement de celles et ceux qu’ils rencontrent dans le moment où un événement-symptôme vient se mettre en travers du chemin de leur jeune existence. Prochainement, le blog de préparation de la Journée 2015 se fera l’écho de ces travaux et des informations pratiques pour y participer. 1 - Lacan J., Écrits, Paris, Seuil, 1966, p. 243. |
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![]() Le chien fait miaou, le chat ouah-ouah Quatre points 1 - Disponible sur le site de l’Institut de l’enfant et dans le deuxième volume de la collection La petite Girafe, Le savoir de l’enfant, paru aux éditions Navarin. | ||
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![]() Avec l'enfant, prendre des initiatives Si « interpréter l’enfant » peut être dit relever stricto sensu de l’acte du psychanalyste, les conditions pour que cet acte soit possible dans la cure analytique sont également celles qui président à la mise en jeu de la parole, donc du sujet, là où elle est réduite à quelques prédicats ou normes qui assignent l’enfant à une place pré-formatée. À chaque fois en effet que des discours maîtres proposent ou imposent au sujet des signifiants prêt-à-porter pour former son code, il revient à l’initiative des intervenants ou des praticiens orientés par la psychanalyse, de déranger les catégories en présence et de faire signe d’un champ inédit où la parole de l’enfant, son savoir, sa souffrance, tissent un autre lien social avec ses « partenaires au jeu de la vie ». | ||
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![]() Interpréter l’enfant, en institution À lire le texte de Jacques-Alain Miller qui oriente les travaux de la troisième journée de l’Institut de l’Enfant, nous découvrons un fourmillement de questions qui concernent de très près la clinique avec les enfants en institution. J.-A. Miller y définit l’empan de l’interprétation en posant l’enfant comme celui qui est interprété et non comme celui qui interprète. De ce fait, c’est « l’enfant » lui-même qui change de statut, d’être en attente d’une interprétation, et la responsabilité des intervenants s’en déduit, de ne pas le fixer à un « je suis un enfant ». En institution, les intervenants – qui ne sont pas en place d’analyste – n’interprètent pas l’enfant ! C’est un principe de départ. Pas d’interprétation sur le mode du déchiffrement ou de la traduction. | ||
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L'Institut de l'Enfant est sur le site www.lacan-universite.fr |
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