Il y a la jouissance dont on connaît la trajectoire, ou celle qui n’a ni début ni fin, ni avant ni après ; la jouissance qui s’accroche à l’homme ou celle qui est sans attaches ; celle qui se dit, celle qui se tait, celle qui a un lieu, celle qui s’engendre sans cesse. Celle qui s’éprouve dans l’isolement et le silence, celle qui bruisse. Celle qui est drainée par le phallus et celle qui n’y est pas toute. Plus ou moins étrange, toujours étrangère. En ligne continue, en droite brisée ou bien en tourbillons incessants.