Tel le Petit Poucet, Marie-Christine Bruyère suit le chemin de l’écriture de Philippe Lançon dans son récit Le Lambeau afin de débusquer le réel en jeu là où la parole a fait défaut. P. Lançon raconte un tas de petites choses anodines ou intimes dont l’enjeu pour le sujet est de recoudre la chaîne signifiante interrompu dont Marie-Christine Bruyère articule l’instant de voir, le travail du rêve où surgit l’inconscient, le réel du trauma et l’issue par l’écriture.