L’idée de cette intervention est née lors d’un séminaire que j’ai donné à Varsovie en octobre 2015 sur la question du Nom-du-Père et de ses changements. Comme Jacques-Alain Miller nous l’a montré, ce qui est intéressant, c’est de se demander pourquoi certains concepts sont utilisés par Lacan du début à la fin de son enseignement, et n’ont pourtant pas la même valeur. Lacan s’est introduit dans la psychanalyse avec ce concept du Nom-du-Père qu’il n’a jamais abandonné, jusqu’à en faire l’équivalent du sinthome à la fin de son enseignement…
Piet Mondriaan, Tableau No. VI / Composition No.II, 1920 (détail)