L’Un-tout-seul c’est le destin pourrait être la réponse de Lacan à la formule freudienne. À savoir que le destin se produit au lieu où le S1, radicalement séparé de l’Autre comme réseau des signifiants, vient s’inscrire sur le corps comme Autre. Il s’agit d’une conjugaison contingente et traumatique entre deux substances, l’une signifiante, nommée l’Un-tout-seul, l’autre jouissante et non négativable…